(Contacts Cristina Iojoiu, Jean-Claude Leprêtre)
Un fonctionnement d’une pile à combustible à plus de 120°C permettrait de lever plusieurs verrous technologiques de la PEMFC, d’une part, en augmentant de 60°C à 120°C, la tolérance au CO des catalyseurs (Pt) croit d'un facteur 100 et, d'autre part, la cinétique des réactions électrochimiques et les problèmes liés au desséchement / noyage de la membrane au cours du fonctionnement seraient améliorés. L’utilisation de l’eau comme transporteur des protons, implique une utilisation de la PEMFC à des températures inférieures à 100°C.
Afin d’augmenter cette température de fonctionnement, nos études portent sur l’élaboration d’électrolytes à base de liquides ioniques à conduction protonique (LIH)/polymère fonctionnels. Outre les performances électrochimiques, nos études portent sur l’évaluation des interactions polymère/LIH, la morphologie des membranes et la compréhension des mécanismes de conduction protonique dans ces milieux complexes.
Afin d’augmenter cette température de fonctionnement, nos études portent sur l’élaboration d’électrolytes à base de liquides ioniques à conduction protonique (LIH)/polymère fonctionnels. Outre les performances électrochimiques, nos études portent sur l’évaluation des interactions polymère/LIH, la morphologie des membranes et la compréhension des mécanismes de conduction protonique dans ces milieux complexes.
Organisation d’un liquide ionique de type CF3SO3- +NH(C2H5)3 dans une matrice Nafion